DSK, Sonko, Mkiè Mouni : l’art de tomber dans les « porblièmes »

Au Sénégal, il semblait faire bouger les lignes politiques, le jeune Ousmane SONKO. Jusqu’à ce que cette affaire de viol sur une masseuse l’amène en prison. Exactement comme DSK que tout le monde donnait favori à la présidentielle française de 2012, et bim! : L’affaire Nafissatou DIALLO est venue tout « gnagamer ». Et il y a le cas de Mkiè Mouni. Seulement, lui, il ne cherche pas le « Naam ». Mais il avait tout de même une dignité à préserver, non? Une puissance démontrée en « clando », qui éclate au grand jour. ça, ça peut être un jaloux caché quelque part qui a fait son wack contre le Moun National. Idem pour SONKO. Un adversaire politique a dû consulter un marabout sénégalais influent. Presque idem pour DSK : un sorcier blanc a pu lancer contre lui un « péébré » (mauvais sort).

Bon, mais ça peut ne pas être le wack, à voir de près. Nos trois hommes, comme d’autres, sont tombés dans des pièges. Oui, les ennemis ont dû les étudier, matin, midi et surtout…le soir. Et, ils ont détecté là où ils pouvaient les attraper. Et voilà l’affaire! DSK et SONKO qui étaient populaires deviennent impopulaires, et Mkiè Mouni qui était inconnu, devient populaire. Quel paradoxe! Mais est-ce la bonne popularité, celle de Mouni? Au moins, ça sert de leçons à ceux qui voudraient démontrer leur puissance et l’envoyer à des âmes sœurs. Mkè Mouni leur dira : « Ne faites pas ça chez vous »! N’éveillez pas le Moun qui dort en vous.

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Les politiciens, eux, savent ce qu’ils risquent en se faisant prendre au piège : bonjour les « porblièmes »!